C’est un voyage diplomatique qui devait renforcer les liens entre Paris et Hanoï, mais qui se transforme peu à peu en saison 8 de « Scènes de Ménage » version République en chute libre. En quelques heures seulement, Emmanuel Macron est passé du statut de chef d’État à celui de figurant dans un vaudeville international, où la gifle de Brigitte et les rails de cocaïne deviennent les nouveaux piliers de la diplomatie française.
Acte 2 : La main de Brigitte, plus rapide que la Justice française
Au moment solennel où le Falcon présidentiel se pose sur le tarmac vietnamien, les caméras immortalisent une scène d’une tendresse toute martiale : Brigitte Macron, ex-institutrice mais toujours prête à faire réciter la leçon, applique une « caresse verticale » sur le visage de son président de mari. Un geste vif, presque chirurgical, comme un rappel qu’à la maison, même Jupiter peut se prendre une foudre conjugale.Les médias officiels parlent de « complicité tactile ». Chez nous, on appelle ça un « rappel de niveau, catégorie CE2, chapitre autorité et respect mutuel ».
Acte I : Nez poudré, réputation explosée
Mais le feu d’artifice ne s’arrête pas là. Quelques heures après cette tchack présidentielle, une photo surgit des tréfonds de Telegram et de X (anciennement Twitter) : Emmanuel Macron, visiblement détendu, apparaît attablé en compagnie de jeunes gens festifs, à quelques centimètres d’un plateau contenant ce qui ressemble fortement à… plusieurs rails de cocaïne.
La photo est floue, certes. Mais pas autant que les explications de l’Élysée qui, dans un communiqué quasi hallucinatoire, déclare :
« Il s’agissait d’une démonstration artistique contemporaine sur la dépendance des sociétés modernes à la performance. Le président n’a rien sniffé à part le parfum du progrès. »
La République renifle
Le peuple, lui, ne s’en laisse pas conter. En France comme en Afrique, on renifle les scandales avant même que les procureurs ne sortent du lit. Les internautes se lâchent :— “On comprend mieux la réforme des retraites, il carburait à 200 bpm !”— “Coke et gifle, il manquait plus qu’un joint et une gifle de Mélenchon pour que ça devienne Netflix.”
Les opposants politiques, toujours en embuscade, réclament une analyse toxicologique, pendant que Brigitte, silencieuse depuis sa gifle présidentielle, aurait déclaré à un proche :> “S’il recommence, je lui fais sniffer du poivre de Penja.”
Et pendant ce temps, au Vietnam…
Les Vietnamiens, eux, n’en reviennent pas. Attendant des accords économiques, ils ont eu droit à un remake de Narcos version Versailles. Un diplomate local, anonyme mais hilare, confie à notre rédaction :> “On pensait accueillir Macron, on a eu Scarface croisé avec une prof de français fâchée.”
Épilogue : République en poudre
Entre gifle conjugale et soupçons de poudre blanche, la présidence Macron franchit un nouveau cap : celui où le théâtre dépasse la politique, et où les meetings devraient bientôt être diffusés après 22h.
La République française, jadis connue pour ses Lumières, semble désormais se diriger à la lueur des flashs de paparazzi, entre un rail de coke et un coup de main maternel.
À suivre : « Brigitte contre-attaque : Elle impose un couvre-feu au Palais et confisque le téléphone d’Emmanuel jusqu’à nouvel ordre. »
