jeudi 10 octobre 2024
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Acquisition de la SNBG par GSEZ : Critiques, partialité des médias, enjeux démocratiques.

Les Controverses autour de l’Acquisition de la SNBG par GSEZ

Les Dysfonctionnements de l’Acquisition

Les députés de la Transition ont critiqué plusieurs aspects de l’acquisition de la SNBG par GSEZ, les jugeant peu légaux. Tout d’abord, le processus de privatisation de la SNBG n’a pas respecté le cadre légal et réglementaire en place. Des dysfonctionnements ont été relevés, tels que l’absence d’approbation du conseil d’administration, la sous-évaluation de l’entreprise, et l’absence d’appel d’offres.

En outre, l’opération de rachat s’est déroulée de manière peu transparente, suscitant des interrogations sur la légitimité de la vente. GSEZ a refusé de collaborer pleinement avec la commission d’enquête parlementaire, alimentant ainsi les doutes sur la légalité de l’opération. Les explications fournies par GSEZ ont été jugées insuffisantes, renforçant les critiques des députés de la Transition.

Les Accusations de Mépris des Procédures Légales.

Les membres de la société civile ont exprimé leur indignation face à l’apparent mépris des procédures légales par GSEZ dans le cadre de cette acquisition. GSEZ a été accusé de choisir la communication publique plutôt que de fournir des réponses officielles aux accusations, ce qui a été perçu comme un manque de transparence et de respect des normes légales en vigueur.

Ces accusations ont alimenté les critiques des députés de la Transition, qui ont souligné l’importance du respect des procédures légales et de la transparence dans de telles opérations. L’apparente rétention d’informations par GSEZ a renforcé les doutes sur la légitimité de l’acquisition de la SNBG.

Médias locaux critiqués pour avoir pris parti en faveur de GSEZ

Kongossa News

Le média Kongossa News a été critiqué pour avoir pris parti en faveur de GSEZ lors de cette acquisition, révélant ainsi sa partialité. Cette critique a été soulevée par le député de Transition Geoffroy Foumboula Libeka Makosso lors d’une enquête parlementaire.

Les attaques contre Geoffroy Foumboula Libeka Makosso

Manque d’éthique des médias

Les détracteurs soulignent le manque d’éthique de certains médias qui soutiennent GSEZ et ciblent Geoffroy Foumboula Libeka Makosso, le député de Transition, en le présentant comme ne disant pas toute la vérité.

Ils dénoncent le fait que ces médias ne mènent pas d’investigations objectives et servent les intérêts des entreprises incriminées au détriment du peuple.

Manipulation de l’opinion publique.

Les détracteurs accusent GSEZ de tenter de manipuler l’opinion publique en refusant de coopérer pleinement avec la commission d’enquête parlementaire et en lançant une campagne médiatique pour discréditer les efforts des représentants.

Ils soulignent que cette manipulation accentue le mécontentement de la société civile et met en danger la souveraineté et la justice du pays.

Accusations de manque de transparence et de coopération.

Les détracteurs critiquent GSEZ pour son manque de transparence et de coopération avec la commission d’enquête parlementaire, ce qui suscite des accusations de manque de transparence et de coopération.

Les citoyens attendent des réponses claires des instances légales et parlementaires concernant cette affaire.

Les conséquences de la partialité des médias envers GSEZ au Gabon

Manipulation de l’opinion publique

La défense inconditionnelle de GSEZ par certains médias locaux risque de manipuler l’opinion publique en présentant une image biaisée de la réalité. En favorisant un seul point de vue, ces médias compromettent la diversité des opinions et la libre circulation de l’information.

Cette manipulation peut influencer les perceptions du public, faussant ainsi sa compréhension des événements et limitant sa capacité à se forger une opinion informée et critique.

Menace pour l’indépendance de la presse.

La partialité des médias envers GSEZ remet en question leur indépendance et leur intégrité journalistique. En prenant ouvertement parti pour une entité économique, ces médias compromettent leur capacité à informer de manière objective et équilibrée.

Cette partialité peut également être perçue comme une forme de collusion entre les médias et les intérêts économiques, sapant ainsi la confiance du public dans la presse en tant que gardienne de la vérité et du contre-pouvoir.

Impact sur la démocratie

La défense aveugle de GSEZ par certains médias locaux peut avoir des répercussions néfastes sur la démocratie au Gabon. En favorisant les intérêts d’une entreprise au détriment de l’intérêt général, ces médias compromettent la transparence et l’équité du processus démocratique.

Cette partialité peut également affaiblir la capacité des médias à jouer leur rôle de contre-pouvoir et de surveillance des institutions, essentiels pour garantir la reddition de comptes et la bonne gouvernance dans une société démocratique.

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