jeudi 10 octobre 2024
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Les Etrangers Prospèrent dans des Emplois Non Conventionnels au Cameroun

Les Etrangers S’épanouissent dans des Emplois Non Conventionnels au Cameroun

Les Professions Méconnues des Etrangers au Cameroun

Les étrangers, tels que Ibrahim Mohamed du Niger, ont trouvé leur voie dans des emplois souvent sous-estimés.

Ces emplois, comme la réparation de chaussures à Buéa, offrent une source de revenus stable malgré leur nature modeste.

Des étrangers comme Guissa Moussa du Mali ont su tirer profit de leurs compétences en cordonnerie pour prospérer à Buea.

Les Métiers de l’Ombre Valorisés par les Etrangers

Ces étrangers exercent des métiers tels que la réparation de chaussures, la vente de pagnes ou la gestion de cafétérias, malgré les stéréotypes sociaux.

Les Nigériens, Sénégalais et Maliens ont su transformer ces professions en sources de revenus fiables et durables.

Les étrangers, comme le Sénégalais de Checkpoint, Buea, ont témoigné du succès de leurs entreprises, générant ainsi des revenus significatifs.

Les Impacts Financiers et Sociaux des Etrangers dans ces Emplois

Les étrangers engagés dans ces emplois non conventionnels contribuent de manière significative à l’économie locale à travers les envois de fonds dans leurs pays respectifs.

Ces emplois, souvent dédaignés par les Camerounais, offrent aux étrangers une opportunité de subsistance et de prospérité, mettant en lumière leur persévérance et leur détermination.

Malgré les défis et les préjugés auxquels ils font face, ces étrangers prouvent que leur travail acharné et leur engagement peuvent transformer des emplois simples en véritables succès professionnels.

En conclusion, les étrangers au Cameroun ont su exploiter des emplois non conventionnels tels que la réparation de chaussures, la vente de pagnes et la gestion de cafétérias pour en faire des sources de revenus stables et lucratives, démontrant ainsi leur capacité à prospérer dans des environnements souvent sous-estimés.

Les étrangers et les métiers subalternes au Cameroun

Les étrangers trouvent des opportunités dans des métiers considérés comme subalternes

Les étrangers présents au Cameroun, en particulier en provenance du Niger, du Mali et du Sénégal, se sont lancés dans des emplois traditionnellement perçus comme subalternes par la population locale.

Ces emplois incluent la réparation de chaussures, la vente de rappeurs (pagnes) ou encore la gestion de cafétérias.

Malgré les stéréotypes sociaux associés à ces métiers, les étrangers trouvent ces activités légitimes et rentables, parvenant à s’épanouir dans la société camerounaise.

Des exemples concrets de réussite malgré la modestie des métiers

Des exemples concrets illustrent la réussite des étrangers dans ces métiers subalternes. Par exemple, Ibrahim Mohamed, un Nigérien, répare des chaussures à Buéa pour subvenir aux besoins de sa famille.

De même, Guissa Moussa, un Malien, a ouvert un atelier de cordonnerie à Bonduma et parvient à gagner sa vie de manière satisfaisante en réparant des chaussures.

Ces succès montrent que malgré la modestie des métiers, les étrangers parviennent à prospérer et à soutenir financièrement leurs familles.

Les envois de fonds témoignent de l’impact financier des étrangers dans ces métiers

Les données sur les envois de fonds indiquent l’importance économique des étrangers exerçant des métiers subalternes au Cameroun.

En 2021, les Nigériens, Sénégalais et Maliens ont envoyé des sommes considérables dans leurs pays respectifs, témoignant de leur capacité à gagner de l’argent grâce à ces emplois.

Cet impact financier contraste avec l’exode croissant des Camerounais à la recherche d’opportunités à l’étranger, soulignant la valeur économique des métiers subalternes pour les étrangers présents au Cameroun.

En conclusion, les étrangers au Cameroun ont su tirer parti des métiers considérés comme subalternes par les Camerounais pour prospérer et contribuer financièrement à leurs familles et à leurs pays d’origine. Malgré les stéréotypes sociaux, ces exemples de réussite soulignent l’importance économique et la légitimité de ces emplois pour les étrangers engagés dans la société camerounaise.

Les étrangers prospèrent dans des domaines sans formation formelle au Cameroun

Le succès des étrangers dans des emplois non conventionnels

Les étrangers, tels que Ibrahim Mohamed du Niger, réussissent à prospérer dans des emplois considérés comme subalternes par les Camerounais.

Ces travailleurs, venant notamment du Niger, du Mali et du Sénégal, exercent des métiers tels que la réparation de chaussures, la vente de rappeurs, ou l’exploitation de cafétérias.

Ils sont souvent désignés par des étiquettes telles que “Kok Kok” ou “Malam” et font face à des stéréotypes mais parviennent à en faire des activités légitimes et lucratives.

Les clés de la réussite des étrangers

Les étrangers comme Guissa Moussa du Mali ont trouvé des opportunités en exploitant leurs compétences, même sans formation formelle.

Ces individus, comme le Sénégalais de Checkpoint à Buea, capitalisent sur leur ingéniosité et leur volonté de réussir dans des domaines où ils excellent, malgré le manque de formation académique.

Le président des Nigériens de Buéa, Ibrahim Djibrila, souligne que ces étrangers trouvent des moyens de subvenir à leurs besoins en exploitant leurs compétences, même sans qualifications officielles.

Les implications financières et sociales

Ces étrangers contribuent de manière significative aux envois de fonds dans leurs pays d’origine, dépassant parfois les montants reçus par le Cameroun en provenance de ces pays.

Cela met en lumière la capacité des étrangers à prospérer dans des domaines non conventionnels, même en l’absence de formation formelle, et souligne l’importance de reconnaître et de valoriser les compétences pratiques et l’ingéniosité.

Ces exemples démontrent que la réussite ne dépend pas toujours des qualifications académiques, mais de la détermination, de la créativité et de la capacité d’adaptation des individus.

Impact financier des étrangers engagés dans des emplois non conventionnels sur les envois de fonds

Envois de fonds des étrangers vivant au Cameroun

Les étrangers, notamment ceux du Sénégal, du Niger et du Mali, exerçant des emplois non conventionnels au Cameroun, ont un impact financier significatif sur les envois de fonds vers leur pays d’origine. En 2021, les Nigériens vivant au Cameroun ont envoyé plus de 9 milliards de FCFA chez eux, dépassant largement les 145 millions de FCFA reçus par le Cameroun en provenance du Niger. De même, les Sénégalais ont envoyé plus de 5 milliards de FCFA et les Maliens plus de 3 milliards de FCFA dans leurs pays respectifs.

Contraste avec les Camerounais cherchant des opportunités à l’étranger

Cet impact financier contraste fortement avec la situation des Camerounais qui cherchent des opportunités à l’étranger. En effet, une augmentation de 70 % des candidatures aux loteries américaines DV en 2023 témoigne de l’intérêt croissant des Camerounais pour des opportunités à l’étranger. Entre 2010 et 2015, environ 381 984 personnes ont quitté le Cameroun à la recherche de meilleures perspectives, citant le chômage, les mauvaises conditions de travail et l’insécurité parmi les raisons de leur départ.

Conséquences économiques et sociales

Ces envois de fonds des étrangers vivant au Cameroun vers leur pays d’origine ont des conséquences économiques et sociales importantes. Ils contribuent à soutenir les économies locales des pays d’origine en fournissant des ressources financières essentielles pour les familles et les communautés. De plus, ces envois de fonds peuvent aider à réduire la pauvreté et à stimuler le développement dans les pays d’origine, créant ainsi un lien économique et social entre les travailleurs migrants et leur pays d’origine.

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