Depuis plusieurs jours, la Plaine Orety, théâtre de déguerpissements controversés, est sous les projecteurs. Et c’est le Président de la République, Chef de l’État et Chef du Gouvernement, Brice Clotaire Oligui Nguéma, lui-même, qui foule cette terre de colère et d’abandon. Depuis sa prise de fonctions à la tête de l’exécutif le 3 mai dernier, il incarne une gouvernance de terrain, rompant avec la distance bureaucratique d’antan.

Face à des familles délogées, souvent sans solutions ni explications, le chef de l’État a choisi d’être présent, de tendre l’oreille et d’apporter des réponses. Cette initiative présidentielle intervient dans un contexte où la gestion du dossier par le ministère du Logement, dirigé par Ludovic Megne Ndong, est jugée hésitante, voire mal maîtrisée par plusieurs observateurs. Un flou administratif persistant aurait ainsi obligé le Président à reprendre en main le dossier, pour éviter un naufrage social et politique.

Sur les lieux, les témoignages poignants des victimes de déguerpissement donnent toute la mesure de la crise :
Marie-France, 42 ans, mère de quatre enfants :
« Le président m’a regardée dans les yeux et m’a dit : “Je ne suis pas venu compatir, je suis venu agir.” J’ai senti qu’il ne faisait pas de la figuration. Il a promis qu’aucun cas ne serait laissé de côté. Pour une fois, j’ai senti qu’on comptait. »
Patrick, 29 ans, agent de sécurité au chômage :
« J’ai dit au président qu’on était perdus. Il a reconnu qu’il y avait des manquements et a répondu : “Je suis là pour reprendre les choses en main.” Cette franchise m’a surpris. Il ne s’est pas caché derrière un discours vide. »
Maman Jeannette, 63 ans, déguerpie de la première vague :
« Quand il m’a parlé, j’ai vu qu’il connaissait nos douleurs. Il a promis une commission pour revoir nos dossiers. Ce n’était pas une visite de façade. Il a pris notre situation au sérieux. »

En s’immergeant dans cette zone de tension, Brice Clotaire Oligui Nguéma confirme sa volonté d’assumer pleinement les responsabilités que lui confèrent ses fonctions de Président de la République, Chef de l’État et Chef du Gouvernement. Reste désormais à transformer cette écoute en actions concrètes, durables et justes.
La Plaine Orety attend des solutions. Elle a désormais un interlocuteur direct. À lui de prouver que ce n’était pas qu’un symbole. https://gabonactu.com/blog/2025/06/16/deguerpissement-de-plaine-orety-la-compassion-du-president-oligui-nguema-aux-sinistres-reloges-provisoirement-a-ondogho/


