Par Prince Bertoua Libreville – À quelques jours d’un scrutin historique, l’Association Colibri sort de l’ombre pour incarner, avec ferveur et détermination, l’un des visages les plus actifs de la société civile engagée dans la campagne présidentielle du 12 avril prochain. Dans un pays en quête de sens, de justice et d’espoir, cette organisation citoyenne, fidèle à ses idéaux depuis 2018, s’affiche aujourd’hui comme un pilier du changement aux côtés du candidat de la transition, Brice Clotaire Oligui Nguema.
« Faire sa part », toujours et encore.Depuis sept ans, Colibri plante ses graines d’engagement dans les terres parfois arides de l’indifférence. Mais à force de conviction et d’action, l’association a su faire germer l’idée qu’un autre Gabon est possible : plus juste, plus fort, plus uni. Une vision qu’elle partage avec Brice Clotaire Oligui Nguema, l’homme de la transition devenu l’homme d’un avenir possible.
Du terrain à la tribune : une mobilisation tous azimuts

Ce n’est pas depuis les bureaux climatisés ou les plateaux de télévision que Colibri fait entendre sa voix. C’est dans les quartiers oubliés de Libreville, dans les ruelles poussiéreuses de Nzeng-Ayong, dans les maisons aux toits de tôle de Lalala, que ses membres s’activent. Porte-à-porte, assemblées de quartier, débats communautaires : partout, l’appel au vote, à l’engagement, à la responsabilité citoyenne est martelé avec la ferveur des convaincus.
Le 12 avril, un choix de société

« Nous avons prouvé que faire sa part, c’est déjà changer les choses. Aujourd’hui, faisons ensemble un choix pour notre avenir », clame l’association dans son dernier communiqué. Ce 12 avril, Colibri ne veut pas simplement voter ; elle veut peser, impulser, construire. Avec Brice Clotaire Oligui Nguema, elle rêve d’une gouvernance participative, d’un contrat social renouvelé, où les Gabonais redeviendraient acteurs et non spectateurs de leur destin.
Un pari audacieux, un engagement sincère

À l’heure où les discours politiques peinent à rallumer la flamme populaire, l’engagement de Colibri tranche : il est désintéressé, enraciné, résolu. Et si cette présidentielle 2025 marquait enfin le temps de la maturité démocratique gabonaise ? Si elle ouvrait la voie à une alliance inédite entre société civile éclairée et pouvoir politique rénové ?
Le 12 avril, le peuple aura la parole. Et Colibri, en éclaireur infatigable, entend bien veiller à ce qu’il la fasse entendre, haut et fort.