Les Accusations de Célestin Djamen contre Maurice Kamto
Les Attaques contre le Siège de l’APAR
Célestin Djamen accuse Maurice Kamto d’être le chef des talibans du MRC qui ont saboté le siège de son parti à Douala. Il affirme que ce sont les talibans du MRC, dirigés par Kamto, qui ont délibérément dégradé le siège de son parti.
Djamen déclare que Kamto est le chef de ces talibans et qualifie ces derniers de personnes sans intelligence.
Il affirme que Kamto a laissé ses militants du MRC piétiner Christian Penda Ekoka qui demandait des comptes sur l’opération « Survivol ».
Les Preuves Avancées par Djamen
Djamen affirme que Maurice Kamto utilise des faux profils pour s’exprimer et qu’il encourage des actes malveillants par son silence ou son action opaque.
Il décrit Kamto comme quelqu’un de particulièrement roublard et accuse ce dernier d’encourager des attaques contre lui par personnes interposées.
Djamen affirme que Kamto a laissé faire car 300 mille Euros auraient été détournés dans l’opération « Survivol ».
Les Conséquences des Accusations
Ces accusations de Djamen visent à discréditer Maurice Kamto en le présentant comme le responsable des attaques contre le siège de l’APAR et d’autres actes malveillants.
Elles soulignent un climat de tension et de rivalité politique entre les différents partis et leaders au Cameroun.
Les implications de ces accusations pourraient avoir un impact sur l’image et la réputation de Maurice Kamto dans le pays.
Les déclarations de Mathias Eric Owona Nguini sur Maurice Kamto
Les affirmations de Mathias Eric Owona Nguini
Mathias Eric Owona Nguini affirme que Maurice Kamto n’a jamais été membre ni du SDF ni du RDPC, mais était un soutien actif du RDPC. Selon Owona Nguini, Kamto était un compagnon de route du SDF et a soutenu objectivement le régime du RDPC. Ces déclarations ont été faites lors de l’émission « Libre Expression » sur Info TV le 28 avril 2024.
Il soutient que Kamto n’a jamais été affilié officiellement à ces partis politiques, mais a plutôt agi en tant que soutien et compagnon de route, notamment envers le RDPC. Owona Nguini met en avant le fait que Kamto a soutenu activement le régime du RDPC, ce qui souligne son implication politique sans être un membre officiel du parti.
Ces déclarations mettent en lumière le positionnement de Maurice Kamto vis-à-vis des partis politiques, soulignant son rôle de soutien et de compagnon de route plutôt que de membre à part entière du SDF ou du RDPC.
Mesures de lutte contre la corruption et le détournement des biens publics au Cameroun
Propositions de Maurice Kamto
Maurice Kamto propose une série de mesures concrètes pour lutter contre la corruption et le détournement des biens publics au Cameroun. Il dénonce les entraves aux inscriptions sur les listes électorales par ELECAM, dirigé par Eric Essousse, affirmant que l’institution travaille activement à faire stagner le fichier électoral. Il accuse le Directeur Général d’être un agent actif de la fraude préélectorale.
Kamto appelle le peuple camerounais à rester mobilisé pour le changement par les urnes. Il affirme que les élections à venir seront cruciales pour le destin du Cameroun et encourage les citoyens à choisir librement leurs dirigeants. Kamto met en garde contre les forces du statu quo politique qui cherchent à détourner la lutte pour le changement.
Il souligne l’importance du vote de chaque électeur pour l’avenir du pays. Kamto dénonce également un réseau criminel d’organisation de fraude préélectorale impliquant des responsables d’ELECAM et de la Police. Il appelle le peuple camerounais à rester mobilisé pour le changement pacifique par les urnes malgré les obstacles rencontrés.
Position de Maurice Kamto sur une éventuelle modification du calendrier électoral pour la présidentielle de 2025
Accusations contre le régime de Yaoundé
Maurice Kamto s’oppose fermement à une éventuelle modification du calendrier électoral au Cameroun pour la présidentielle de 2025. Il accuse le régime de Yaoundé de vouloir inverser l’ordre des élections en organisant les élections législatives et municipales avant la présidentielle. Selon lui, cette décision serait contraire à la Constitution et injustifiée sur le plan financier.
Il met en garde contre les conséquences d’une telle modification sur le plan institutionnel et politique. Kamto exhorte les Camerounais à respecter le calendrier électoral et à défendre leur droit de vote en 2025.
Appel à une alternance pacifique
Maurice Kamto croit en une alternance pacifique lors de la présidentielle de 2025 au Cameroun. Il soutient le « changement dans la paix et par les urnes » malgré les tentatives du régime actuel de maintenir le pouvoir par la violence. Il encourage vivement les Camerounais à s’inscrire massivement sur les listes électorales pour opérer ce changement en 2025.
Mise en garde contre les manœuvres politiques
Dans ses déclarations, Maurice Kamto met en garde contre les manœuvres du parti au pouvoir visant à avancer la présidentielle d’octobre 2025 avant les élections législatives et municipales. Il souligne que cette tentative constituerait une violation de la constitution camerounaise. Kamto appelle les Camerounais à rester vigilants et à défendre leur droit de vote en 2025.