Programme d’Appui pour un secteur vivrier résilient et durable en Côte d’Ivoire
Secteurs ciblés par le programme
Le Programme d’Appui pour un secteur vivrier résilient et durable en Côte d’Ivoire vise à renforcer la production alimentaire durable et la résilience du système alimentaire dans plusieurs secteurs clés.
Il cible notamment les chaînes de valeur du maraîcher, de la banane plantain, du manioc et de ses produits dérivés.
Ces secteurs sont essentiels pour assurer la sécurité alimentaire du pays et promouvoir une agriculture durable et résiliente.
Les sources de financement du Programme santé, nutrition et développement de la petite enfance en Côte d’Ivoire
Financement du Programme
Le gouvernement ivoirien a signé un accord de financement avec l’Association internationale de développement (AID) du groupe de la Banque mondiale pour financer la phase 1 du Programme santé, nutrition et développement de la petite enfance (PSNDPE) en Côte d’Ivoire. Ce financement comprend un prêt de 200 millions USD de l’AID, un accord de don de 20 millions USD via le Global Financing Facility (GFF), cinq millions USD du Partenariat d’apprentissage précoce (PEL) et 6,5 millions USD du Fonds mondial.
Le PSNDPE vise à accroître l’utilisation des services de qualité en matière de santé, de nutrition et de développement de la petite enfance. Ce programme s’étend sur 10 ans (2023-2033) et comporte cinq composantes clés.
En outre, le Programme santé, nutrition et développement de la petite enfance en Côte d’Ivoire est financé par l’Association internationale de développement (AID) de la Banque mondiale, le Global Financing Facility (GFF), le Partenariat d’apprentissage précoce (PEL) et le Fonds mondial. Ces sources de financement permettent de soutenir les services de santé, de nutrition et de développement pour les enfants en bas âge dans le pays.
Les composantes clés du Programme santé, nutrition et développement de la petite enfance en Côte d’Ivoire
Les cantines scolaires
Le Programme comprend la mise en place de cantines scolaires dans les écoles primaires publiques pour fournir des repas équilibrés aux élèves.
Ces cantines sont financées soit par le gouvernement, soit par des partenaires internationaux comme le Programme alimentaire mondial.
Elles visent à améliorer la nutrition des enfants, leur permettant ainsi de mieux se concentrer en classe et d’améliorer leurs résultats scolaires.
Le renforcement du système de santé
Une des composantes clés est le renforcement du système de santé pour garantir l’accès à des services de qualité en matière de santé pour les femmes, les enfants et les populations économiquement faibles.
Cela inclut l’amélioration de la qualité des soins, le renforcement des capacités de prestation de services de santé, de nutrition et de développement de la petite enfance.
L’objectif est d’assurer une couverture sanitaire universelle et de réduire la prévalence de maladies telles que le paludisme.
La gestion et coordination du projet
Une autre composante importante est la gestion et la coordination du projet pour assurer une mise en œuvre efficace et efficiente des différentes initiatives.
Cela implique la coordination des différentes parties prenantes, la gestion des ressources et le suivi des progrès réalisés dans la mise en œuvre du programme.
L’objectif est d’assurer une gouvernance solide et transparente du Programme pour garantir son succès sur le long terme.
Durée du Programme santé, nutrition et développement de la petite enfance en Côte d’Ivoire
Dix ans de mise en œuvre (2023-2033)
Le Programme santé, nutrition et développement de la petite enfance en Côte d’Ivoire a une durée prévue de dix ans, s’étalant de 2023 à 2033. Cet accord de financement signé entre le gouvernement ivoirien et l’Association internationale de développement (AID) de la Banque mondiale vise à accroître l’utilisation des services de qualité en matière de santé, de nutrition et de développement de la petite enfance.
Les composantes clés du programme incluent le renforcement du système de protection sociale de santé, l’amélioration de la qualité des soins, le renforcement des capacités de prestation de services et la gestion du projet. Il bénéficie d’un prêt de 200 millions USD de l’AID, d’un accord de don de 20 millions USD via le Global Financing Facility (GFF), de cinq millions USD du Partenariat d’apprentissage précoce (PEL) et de 6,5 millions USD via le Fonds mondial.
