Une nouvelle vidéo, filmée à son insu, montre le Président Brice Clotaire Oligui Nguema en entretien avec Sylvia Bongo Ondimba et son fils Noureddin au Palais présidentiel.
Loin du tumulte et des accusations, l’image parle d’elle-même : un Chef d’État calme, posé, bienveillant, face à ceux qui ont longtemps incarné l’arrogance du pouvoir absolu.
Ce que cette séquence révèle dépasse le simple cadre d’un échange.
Elle met à nu deux réalités : l’humanité du Président et la duplicité d’un clan en perte de repères.
Une rencontre d’humanité avant tout

Cette rencontre n’a rien d’un règlement de comptes.
Elle s’est tenue à la demande du Président, juste avant la libération de Sylvia et Noureddin Bongo pour raisons médicales.
Informé par leurs avocats de la gravité de leur état de santé, Brice Oligui Nguema a choisi de les recevoir personnellement, par respect pour la personne humaine, et dans l’esprit d’apaisement qui guide sa gouvernance depuis août 2023.
Dans la vidéo, le Chef de l’État leur dit simplement : « Vous n’étiez pas en prison. »
Certains ont voulu y voir une provocation. C’est une erreur.
Ces mots rappellent une réalité incontestable : les Bongo ont été hébergés dans un pavillon du Palais présidentiel, avec leur propre cuisinier, des soins médicaux réguliers et la visite constante de leurs proches.
Aucun isolement, aucune maltraitance, aucune vengeance.
Un traitement digne — bien loin du sort réservé, jadis, à leurs propres prisonniers.
Le contraste avec l’ancien régime

Les images rappellent, par contraste, la brutalité du passé.
Sous l’ancien pouvoir, des figures comme Jean-Rémy Yama, Brice Laccruche Alihanga, Bertrand Zibi ou Kelly Ondo Obiang ont connu l’humiliation, la maladie et la détention arbitraire, souvent sans soins ni visites.
Aujourd’hui, c’est l’exact inverse : un Chef d’État qui prône la justice sans haine, la fermeté sans humiliation.
Le Gabon a changé d’époque.
Quand la manipulation se retourne contre ses auteurs

En diffusant cet extrait, les Bongo Valentin se contredisent eux-mêmes.
On y entend Sylvia et Noureddin acquiescer lorsque le Président leur rappelle qu’ils n’étaient pas emprisonnés.
Un moment troublant, quand on se souvient qu’ils affirmaient, il y a encore quelques mois, avoir subi tortures et humiliations.
Cette vidéo, censée les victimiser, révèle au contraire qu’ils ont été traités avec respect, écoute et humanité.
Ce nouvel élément fait voler en éclats la construction narrative d’un clan qui ne parvient toujours pas à accepter la fin d’un règne.
Depuis plus d’un an, leurs vidéos, leurs interviews et leurs déclarations ne visent qu’un but : manipuler l’opinion nationale, rallumer la rancune, réécrire l’histoire.
Mais les faits, désormais visibles à tous, les démentent.
Leur propre mise en scène dévoile la vérité : un Président mesuré, bienveillant et profondément humain, là où eux n’ont su régner que par la peur.
L’humanité du pouvoir

Ce que cette séquence démontre, c’est la force tranquille du Chef de l’État.
Dans d’autres contextes, d’autres pays, d’autres transitions, les anciens dirigeants ont connu la violence, la vindicte, parfois la mort.
Au Gabon, c’est tout le contraire : la République a choisi la dignité.
Sous Oligui Nguema, la clémence ne rime pas avec faiblesse — elle témoigne de la maturité d’un homme d’État qui comprend que la vraie puissance se mesure à la maîtrise de soi.
Le symbole d’une nouvelle ère

Cette vidéo ne ternit pas l’image du Président, elle la renforce.
Elle confirme ce que les Gabonais perçoivent depuis le 30 août 2023 :
le pays est dirigé par un homme qui incarne la justice sans vengeance, l’autorité sans haine, et la réconciliation sans oubli.
En refusant de s’abaisser aux méthodes du passé, Brice Clotaire Oligui Nguema donne au Gabon un visage nouveau : celui d’un État fort, digne et humain.
Et dans un monde souvent marqué par la brutalité des transitions, le Gabon montre qu’il est possible de changer d’époque sans perdre son âme.


