À la veille du second tour des élections législatives et locales, le Chef de l’État, Son Excellence Brice Clotaire Oligui Nguema, a de nouveau réaffirmé sa volonté d’instaurer une transparence absolue dans le processus électoral. Lors d’une importante séance de travail au Palais du Bord de Mer, le Président de la République a adressé un message fort à la presse nationale et internationale, l’invitant à jouer pleinement son rôle républicain d’observateur et de témoin du scrutin.
« La presse doit jouer son rôle durant ce processus, en filmant en direct le décompte, devant tous, il n’y a rien à cacher », a déclaré le Chef de l’État.
Cette phrase, simple mais puissante, traduit l’esprit d’ouverture et de responsabilité qui anime la transition gabonaise, résolument tournée vers une gouvernance électorale fondée sur la vérité et la confiance publique.
La presse au cœur de la transparence démocratique

Dans son intervention, le Chef de l’État a rappelé que la liberté de la presse est l’un des piliers essentiels d’un État moderne et démocratique. En autorisant et en encourageant les médias à filmer le dépouillement et le décompte des voix, il veut faire du scrutin gabonais un exemple de clarté et d’intégrité en Afrique centrale.
Cette ouverture inédite vise à rassurer les électeurs, à dissuader les fraudeurs et à renforcer la confiance entre les institutions et le peuple. Pour le Président de la République, la presse n’est pas un simple spectateur du processus électoral, mais un acteur central de la démocratie.
Une rupture avec les pratiques opaques du passé

Cette volonté d’ouverture marque une rupture nette avec les méthodes opaques d’autrefois. En invitant les journalistes à être témoins du décompte des voix, le Chef de l’État entend instaurer un nouveau standard démocratique, où chaque vote est visible, compté et respecté sous l’œil des caméras.
Ce geste fort illustre la détermination du Président à rebâtir la confiance citoyenne et à inscrire la transition gabonaise dans une ère de responsabilité et de transparence institutionnelle.
La démocratie gabonaise à l’épreuve de la vérité

Le Chef de l’État a également souligné que la transparence n’est pas une faiblesse, mais une force :
« Montrer, filmer, expliquer, c’est rendre justice au peuple.


