Un projet né de l’expérience et du terrain
Candidat au siège de député du département de la Dola, Yves Fernand Manfoumbi présente un ambitieux projet de société baptisé « Renaissance de la Dola », fruit de l’expérience de l’Association Renaissance qu’il a fondée en 2012. Ce programme s’inspire de son triptyque fondateur – Paix, Développement, Partage et part d’un constat : la précarité économique fragilise la cohésion sociale, tandis que les femmes et les jeunes manquent d’accès au capital et à la formation. Déjà, des actions pilotes menées auprès de commerçantes à Port-Gentil et Oyem, ainsi que de jeunes de la Ngounié, ont prouvé l’efficacité d’initiatives locales, traçables et pragmatiques.
Une vision claire pour des villages connectés et résilients
La « Renaissance de la Dola » ambitionne de bâtir des villages modernes, reliés entre eux, où chaque habitant – en particulier les femmes et les jeunes – peut accéder à l’éducation, à la santé, à l’eau potable, à l’énergie et à des opportunités économiques locales. L’objectif est de poser des bases durables : infrastructures de proximité, développement du capital humain et création de filières d’activité comme l’agriculture, l’élevage, l’artisanat ou encore les services communautaires. Le programme prône un suivi rigoureux des résultats pour garantir des bénéfices concrets et mesurables pour les populations.
Cinq axes d’actions prioritaires pour transformer la Dola
Le plan s’articule autour de cinq piliers de développement :Infrastructures de proximité : réhabilitation des routes départementales et des pistes rurales, entretien communautaire et création de points d’embarquement villageois pour faciliter l’accès aux marchés et services.
Capital humain : rénovation des écoles et des dispensaires, formations courtes en agro-transformation, énergie solaire, BTP léger et mécanique, programmes d’alphabétisation fonctionnelle et campagnes de santé mobile (vaccination, maternité, lutte contre le paludisme).
Eau et énergie : installation de forages, adduction d’eau potable, mini-kits solaires pour les écoles et cases de santé, mini-réseaux énergétiques pour l’agro-transformation, formation d’artisans locaux pour l’entretien.
Agriculture et élevage : création de coopératives, distribution de semences améliorées, appui à l’agro-transformation (manioc, piment, tomate), développement de la filière volaille, équipements partagés comme des séchoirs solaires, magasins de stockage et banques de céréales.
Entrepreneuriat et finance inclusive : création d’un fonds d’appui pour les jeunes et les femmes, mise en place d’un incubateur pour les start-up locales, partenariats avec des entreprises agro-industrielles, soutien au sport et valorisation du patrimoine culturel de la Dola.
Une gouvernance transparente et participative
Pour garantir l’efficacité et la redevabilité du programme, une gouvernance locale structurée sera mise en place. Un comité de pilotage réunissant l’administration, les chefs de villages, les représentants des femmes et des jeunes ainsi que des techniciens veillera à l’orientation des décisions. Une cellule technique, associant l’Association Renaissance et des experts sectoriels, suivra les chantiers et consolidera les indicateurs de progrès. Des réunions publiques semestrielles, un tableau de bord régulier et un audit annuel assureront la transparence des actions. Yves Fernand Manfoumbi appelle ainsi chaque habitant à s’unir pour faire de la Renaissance de la Dola une réalité, symbole d’un développement durable et partagé au bénéfice de tous. https://union.sonapresse.com/fr/elections-yves-fernand-manfoumbi-la-fonction-de-depute-est-une-responsabilite-pas-un-honneur
