Dans le paysage politique et administratif gabonais, rares sont les figures dont le parcours conjugue avec autant de constance rigueur technocratique, vision stratégique et enracinement local. Yves Fernand Manfoumbi, économiste de formation, s’est imposé au fil des années comme l’un des cadres les plus solides de l’appareil d’État, avant de devenir une figure politique nationale et un acteur incontournable du développement de Ndendé.
De la technocratie à l’action politique

Sa trajectoire débute au Commissariat général au Plan, avant de le conduire à la Direction générale du Budget, où il marque de son empreinte la gestion des finances publiques. La suite se décline dans des postes clés, à la tête de l’Agence nationale des grands travaux et du Bureau de coordination du Plan Gabon Émergent, deux leviers majeurs de la stratégie économique nationale.
En 2016, il accède au portefeuille de l’Agriculture, de l’Élevage et du programme GRAINE. Il y conçoit la Politique nationale de sécurité alimentaire et nutritionnelle, un jalon structurant pour le pays, qui lui vaut une reconnaissance continentale en tant que « Champion Nutrition ». Son passage au Commerce et aux PME, doublé de la fonction de porte-parole du gouvernement, consacre un style de communication apaisée et une volonté de renforcer le tissu économique local.
Une stature continentale

Au-delà des frontières nationales, Yves Fernand Manfoumbi s’impose. En 2022, son élection à la présidence du Conseil des ministres du Commerce de la ZLECAF illustre la reconnaissance de ses pairs et son inscription dans une vision panafricaine du développement par le commerce.
L’homme de Ndendé

Mais Yves Fernand Manfoumbi n’est pas seulement un haut fonctionnaire ou un ministre. Il est aussi un élu de terrain, député du département de la Dola, dont Ndendé est le cœur. Là, son action se traduit par des réalisations tangibles :
Emploi et autonomie : 75 % des familles locales ont bénéficié directement de ses initiatives d’insertion professionnelle.
Éducation : financement de bourses pour les étudiants ressortissants.
Infrastructures : routes Ndendé-Mouila, Ndendé-Doussala et Ndendé-Tchibanga, réhabilitation de l’hôpital départemental et du bâtiment du Trésor, construction du complexe administratif Pierre Maboundou et du camp de gendarmerie.
Services de base : extension des réseaux d’eau et d’électricité, mise en service d’un château d’eau et réhabilitation de la station de pompage du lac Bleu.
Sport et jeunesse : construction du stade de Mouniondzi.
Soutien aux autorités locales : véhicules, équipements et moyens logistiques aux auxiliaires de commandement.
Développement agricole et industriel : implantation de l’usine et de la plantation OLAM, promotion de l’élevage de poules et du commerce d’œufs à Moukoro.
Une figure de transition

Homme de conviction, Yves Fernand Manfoumbi se situe à la croisée des chemins entre technocratie et proximité, entre la gestion des grandes politiques publiques et l’attention aux réalités locales. Sa capacité à articuler vision nationale et initiatives de terrain, à conjuguer la rigueur des chiffres et l’exigence du concret, fait de lui une personnalité dont le parcours incarne une nouvelle manière de penser l’action publique au Gabon.
À Ndendé comme à Libreville, dans les enceintes ministérielles comme au sein du Parlement, il s’affirme comme l’un de ces rares profils capables de transformer les ambitions en réalisations. Sa trajectoire illustre, au-delà des contingences partisanes, une idée simple mais fondamentale : servir l’État, c’est aussi servir les communautés. https://www.union.sonapresse.com/fr/ndende-yves-fernand-manfoumbi-officialise-sa-candidature-dans-une-ambiance-triomphale


