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vendredi 5 décembre 2025
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Gouvernement Suminwa II : Continuité ou Vraie Réforme ?

Remaniement du Gouvernement Congolais : Continuité ou Changement ?

Un Gouvernement Suminwa II : Les Premiers Signes de Continuité

Le 8 août 2025, le président Félix Tshisekedi a dévoilé le gouvernement Suminwa II, confirmant Judith Suminwa dans son rôle de Première ministre. Avec 53 membres à son actif, dont 6 vice-Premiers ministres et 12 ministres d’État, ce remaniement a suscité des réactions divergentes au sein de la population et des experts politiques. Plus de 60 % des membres de l’ancienne équipe ont été reconduits, alimentant ainsi des doutes sur une volonté réelle de transformation au sein de l’exécutif.

Les critiques ne se sont pas fait attendre, notamment de la part des organisations de la société civile. Celles-ci considèrent que le nouveau gouvernement reflète avant tout la continuité des politiques passées, plutôt qu’une réelle rupture. Carlos Mupili, président du conseil suprême de la société civile, n’a pas caché sa déception face au maintien de ministres dont le bilan est jugé peu concluant. Ce sentiment de stagnation est accentué par la présence de personnalités controversées, telles qu’Aimé Boji Sangara, qui restent en poste malgré un accueil mitigé par le public.

Parallèlement, Tshisekedi a tenté de donner une impression d’ouverture en intégrant des membres de l’opposition, comme l’ancien Premier ministre Adolphe Muzito, au ministère du Budget. Cependant, cette initiative est perçue par certains comme une opération politique destinée à apaiser les tensions, sans engagement envers de véritables réformes.

Les Nouvelles Nominations : Un Équilibre Fragile

Ce remaniement a aussi introduit quelques nouvelles têtes, comme Floribert Anzuluni, nommé au ministère de l’Intégration régionale. Ces choix sont interprétés comme une tentative de diversifier le gouvernement et d’incorporer des voix de l’opposition. Néanmoins, l’impact de ces nouveaux ministres est souvent jugé limité, peu en mesure de provoquer un changement significatif dans la gouvernance.

Une réorganisation des ministères a eu lieu, incluant la fusion de certaines entités pour améliorer l’efficacité. Par exemple, le ministère de l’Enseignement supérieur a été élargi pour accueillir la Recherche scientifique. Pourtant, certains analystes perçoivent ces changements comme cosmétiques, insuffisants pour répondre aux attentes d’une refondation politique approfondie. Ils soulignent qu’en l’absence d’une volonté authentique de réformer les pratiques de gouvernance, ces ajustements structurels risquent de ne pas engendrer les résultats escomptés.

Le débat autour de la taille du gouvernement, désormais maintenue à 54 membres, soulève des interrogations sur la nécessaire réduction des dépenses publiques. Les promesses de réduire le train de vie des institutions n’ont pas été concrétisées, renforçant l’idée que ce remaniement n’est qu’un ajustement superficiel plutôt qu’un changement radical.

Les Réactions de la Société Civile et des Acteurs Politiques

Réactions variées face à ce remaniement. Des mouvements citoyens tels que Lucha et Filimbi expriment un appel pressant pour un changement de cap. Ils soulignent que la gouvernance actuelle ne répond pas aux besoins cruciaux de la population, en particulier sur des problématiques comme le chômage des jeunes ou la corruption. Placide Nzilamba, représentant de la société civile du Nord-Kivu, a insisté sur la nécessité d’un plan d’urgence pour les zones en guerre, mettant en avant les défis sécuritaires persistants dans l’Est.

De plus, des figures de l’opposition, comme Prince Epenge de Lamuka, ont clairement refusé de participer à ce gouvernement, arguant l’absence d’un véritable dialogue politique inclusif. Cette position met en lumière la fracture persistante entre le gouvernement et les forces d’opposition, qui réclament un changement réel plutôt qu’un simple réaménagement.

En somme, le remaniement du gouvernement Suminwa II s’inscrit dans une logique de continuité, avec des ajustements qui semblent superficiels face aux défis socio-économiques et sécuritaires pressants. Les appels à un dialogue national inclusif sont de plus en plus insistants. La question demeure : ce gouvernement saura-t-il répondre aux attentes de la population, ou continuera-t-il à naviguer dans les eaux troubles du statu quo ?

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