Une route oubliée qui renaît
Qui aurait parié sur une telle métamorphose ?Au cœur du Gabon profond, entre la localité d’Ovan et la cité verte de Makokou, un vieux serpent de goudron fatigué renaît de ses cendres, sous l’impulsion résolue des autorités de la Transition. Oui, la route Ovan-Makokou se refait une beauté. Et pas qu’un peu.
20 kilomètres déjà bitumés

Désormais, du PK18 à Etzua-Megnien, et d’Ebeigue jusqu’à Simintang, ce ne sont pas moins de 20 kilomètres qui sont déjà entièrement bitumés. Le rêve d’hier devient réalité aujourd’hui, avec une précision presque chirurgicale dans l’exécution des travaux. Sur le terrain, les engins ronronnent, les ponts poussent comme des champignons après la pluie, les caniveaux tracent leur sillage, et les équipes s’affairent avec une cadence qui laisse admiratif. Tout avance, vite, bien, et avec ambition.
Une vision présidentielle

Derrière cette dynamique nouvelle, une vision. Celle du Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, qui semble décidé à réconcilier les Gabonais avec leur droit fondamental à circuler dignement dans leur propre pays. Ce chantier routier, longtemps source de découragement pour les usagers, est en passe de devenir un symbole éclatant de la rupture avec les lenteurs d’hier.
Une heure chrono entre Ovan et Makokou

Fini les heures interminables à slalomer entre les nids-de-poule. Ovan-Makokou se fait désormais en une heure chrono, au grand soulagement des commerçants, des transporteurs, des patients en quête de soins et des familles séparées par les caprices de l’asphalte.
Plus qu’un chantier, un symbole

Ce projet n’est pas simplement une prouesse technique, c’est une réconciliation avec le territoire, un acte de justice pour ces régions longtemps oubliées des grands investissements publics. Et surtout, un message : le Gabon avance, bitume après bitume, vers un avenir plus solide.
Quand l’espoir s’écrit en goudron

La route Ovan-Makokou n’est plus un rêve lointain. Elle est en train de devenir un axe stratégique, vital, et symbolique. Une preuve, s’il en fallait encore, que la volonté politique, lorsqu’elle est sincère et agissante, peut transformer la poussière en espoir.


