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RDC : Constant Mutamba victime de ses propres mots

Une fin triste pour un donneur de leçons

Il ne fallait pas être devin pour prédire la chute de Constant Mutamba. Moins d’un an après sa nomination au poste stratégique de Ministre d’État en charge de la Justice, l’homme a remis sa démission ce mardi 17 juin au Président Félix Tshisekedi, conformément à la loi, après que l’Assemblée nationale a autorisé les poursuites judiciaires contre lui.

Mais au-delà de l’aspect judiciaire, c’est un climat politique empoisonné, nourri de rancunes tenaces et de règlements de comptes souterrains, qui semble avoir précipité la disgrâce d’un ministre devenu gênant. À vouloir jouer les redresseurs de torts et les pourfendeurs de l’impunité, Constant Mutamba semble aujourd’hui victime de ses propres paroles, de ses ennemis, et d’un système qui ne pardonne ni les écarts, ni les audaces.

Des propos qui lui collent à la peau

Qui a oublié ce jour où, lors d’une réunion ministérielle, Mutamba avait lancé devant ses collègues : « Ça sent le détournement de fonds dans cette salle » ? Une phrase choc, qui en disait long sur sa perception du fonctionnement interne du gouvernement. Si certains y ont vu un sursaut d’intégrité, d’autres y ont plutôt décelé une imprudence politique, voire une attaque directe contre des collègues bien installés et mieux connectés. Cette phrase, devenue virale, lui a attiré nombre d’ennemis.

Des ennemis puissants : Kabila, Kagame… et leurs alliés

Mais ce n’est pas tout. Constant Mutamba n’a pas ménagé ses critiques contre l’ancien président Joseph Kabila Kabange, qu’il accusait récemment encore d’avoir verrouillé les institutions à son profit. C’est lui qui avait activement soutenu la levée de l’immunité parlementaire de Kabila, avant de se retrouver ironiquement dans une situation semblable. Ironie du sort ou vengeance politique ? Beaucoup penchent pour la seconde hypothèse, tant les réseaux de l’ex-raïs restent puissants au sein des appareils judiciaire et législatif congolais.

Autre cible de ses piques : Paul Kagame, président du Rwanda. Mutamba n’a jamais mâché ses mots concernant l’ingérence rwandaise dans l’est de la RDC, dénonçant un “silence complice” au sommet de l’État. Or, dans un climat diplomatique aussi sensible, s’attaquer frontalement au Rwanda, c’est aussi provoquer les partisans d’une diplomatie conciliante au sein même du pouvoir congolais.

Un dossier judiciaire précipité ?

L’affaire du marché gré à gré portant sur la construction d’une prison à Kisangani semble avoir été l’occasion parfaite pour se débarrasser d’un ministre devenu trop bavard. En cause : 19 millions de dollars supposément détournés sur un budget total de 29 millions. Une somme colossale, certes, mais qui intervient dans un contexte où d’autres scandales plus opaques restent sans suite.

L’interdiction de quitter le territoire, prononcée contre lui par le procureur général Firmin Mvonde, marque la chute brutale d’un homme qui, à force de vouloir nettoyer la maison Justice, a fini par en être expulsé.Une mise à mort politique préméditée ?

Si les faits qui lui sont reprochés sont graves, nombreux sont ceux qui dénoncent un acharnement politique. Le timing, la célérité des procédures, l’absence d’égards pour le principe de présomption d’innocence, et surtout la brutalité du traitement réservé à un ministre en fonction, interpellent.

Dans les coulisses du pouvoir, plusieurs langues se délient : Mutamba aurait “fait peur” à trop de monde. Ses dénonciations dérangeaient. Sa posture d’homme intègre, trop isolée dans un système verrouillé, était devenue intenable. Et pour certains, il fallait donc l’abattre.

Conclusion

Constant Mutamba paie-t-il aujourd’hui le prix de son franc-parler, de son audace, et de son refus de se plier aux compromis habituels du pouvoir ? L’affaire judiciaire suit son cours, mais l’affaire politique, elle, semble déjà jugée : dans certaines arènes, la vérité dérange plus que le silence. Et ceux qui la crient trop fort finissent, souvent, par en payer le prix.

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